Aujourd’hui, en Wallonie, la vigne n’est plus seulement accessible aux « riches bourgeois propriétaires terriens ». Elle s’ouvre à un public plus large et plus modeste. A l’origine de ce basculement, de nombreuses associations et coopératives qui veulent replacer l’humain au centre du terrain. Ces acteurs voient dans la vigne un outil de cohésion sociale avec lequel bâtir de nouvelles formes de solidarité et, pourquoi pas, de nouveaux modèles démocratiques et socio-économiques.
Enquête réalisée au coeur de 6 vignobles associatifs et coopératifs : Vin de Liège, Vin du Pays de Herve, Villers-la-Vigne, Vin de Genval, Le Poirier du Loup et le vignoble du Martinet.
Avec l’aide du Fonds pour le journalisme en Fédération Wallonie Bruxelles.